Vous bâillez? Étirez-vous!

  • Vous bâillez? Étirez-vous!

    Vous bâillez? Étirez-vous!

     

     Il n’y a pas qu’après les exercices que l’on peut s’étirer.

    Il est bon de pandiculer tout au long de la journée! Bref: bâillez!

     

    Je suis en vacances. Je fais du ménage. J’aménage de nouvelles plates-bandes. Et que se passe-t-il? Je surprends mon cerveau en pleines divagations professionnelles! Je ne peux m’en empêcher.

    Irrésistiblement, lorsque j’utilise mon corps, je m’efforce de le ressentir et de l’observer (même assise à vous écrire). Il s’ensuit des réflexions; nombreux de mes exercices sont issus de telles observations.

     

    Les mouvements du quotidiens.

    Tant d’occasion que les gens laissent filer…

     

    Conséquemment, il y a belle lurette que j’ai réalisé que notre quotidien nous fournit moult occasions de bouger, de faire des efforts et de s’essouffler — pour qui veut s’en donner la peine. Mais rarement de s’étirer. Je le réécris pour être certaine que vous l’ayez bien lu: mais rarement de s’étirer…

    Bâillez-vous au courant de la journée? C’est votre corps qui crie:
    Étire-moi! Oxygène-moi!

     

    Les origines de FlexyForme.

    J’en ai donc fait le fondement de mon travail. D’où le nom Flexy (flexibilité) Forme (conditionnement physique fonctionnel).

     

    Logiquement, et pour demeurer cohérente avec ma philosophie de l’entretien du corps, c’est la raison pour laquelle entre mes sessions de cours, j’investis davantage mon temps sur les étirements plutôt que deux ou trois séances hebdomadaires d’exercices de renforcements. Je troque ces dernières pour de plus longues séances d’étirements les journées pendant lesquelles mes activités demeurent plus sédentaires.

    Je choisis alors certaines positions d’étirements qui peuvent devenir assez “musculaires” en sollicitant intensément le diaphragme ainsi que les abdominaux; ainsi, je fais un deux dans un en maintenant tonus et flexibilité.

    Inversement, lorsque je fournis plus d’efforts musculaires, je m’étire gentiment au fur et à mesure, simplement pour détendre et désengorger les régions sollicitées. Deux minutes ici, une minute là. Ça évite d’arriver à la fin de la journée et de s’exclamer:
    Ah! Je n’ai pas eu le temps.

     

    Investissez dans votre confort!

    Rares sont les gens qui truffent ainsi leur journée de pauses-étirements.

     

    Sauf l’étirement du matin en bâillant dans le lit (pandiculation). Vous le faites celui-là au moins, n’est-ce pas? Car c’est une excellente façon de sortir le corps de sa torpeur matinale.

    Ceci étant tapé, vous vous doutez bien que je trouve toujours navrant de constater que les étirements, bien qu’ils gagnent en popularité, soient trop souvent relégués au bas de la liste des priorités d’entraînement — parce que s’ils ne s’intègrent pas à l’entraînement, quand le sont-ils?

    Qui plus est, qu’il est notoire de considérer que 5 minutes, 1 à 3 fois par semaine suffisent. La solution?

    Ne pas attendre l’heure de l’entraînement pour s’étirer.

     

    Le secret d’un bon étirement.

    Un des principes d’un bon étirement est la mise en tension par autograndissement.

     

    Ce principe sollicite automatiquement les muscles du tronc (abdominaux et dos). C’est pas mal ce qui se passe lorsque l’on bâille en s’étirant de tout son long.

    Allez, faites-vous confiance et pandiculez!


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