Choix santé: Exercices, connaissances et déterminants sociaux.

  • Choix santé: Exercices, connaissances et déterminants sociaux.

    Choix santé: Exercices, connaissances et déterminants sociaux.

    Il n’est pas facile de lutter contre l’ignorance qui mène aux mauvais choix santé.

    Mieux vaut prévenir que guérir.

    Au courant de l’été 2014, j’ai pris connaissance d’un article du Huffingtonpost (dont le lien est malheureusement expiré) qui donne à réfléchir. Mais attention, ça va frapper. Arrimez-vous à votre chaise:

    Le trio “bonne alimentation/activité physique/arrêter de fumer”, baptisé la sainte trinité, ne suffirait pas à assurer une bonne santé.

    Pas besoin de vous spécifier que mes sourcils ont rejoint le milieu de mon front! Néanmoins rassurez-vous, il faut lire l’article au complet pour comprendre qu’il ne s’agit pas de décrier les dogmes établis.

     

    Quand bonne alimentation, activité physique et arrêter de fumer ne suffisent plus…

     

    Bien au contraire, l’auteur suggère d’aller au-devant de ceux-ci, en amont comme il le mentionne, pour faire en sorte que ces fameux conseils pieux et éthérés qui saturent notre intellect deviennent une évolution naturelle. Bref, engendrer des automatismes qui nous enlignent vers les bons choix santé.

     

    …Il faut véhiculer des connaissances.

    Lutter contre l’ignorance qui mène au mauvais choix santé.

     

    Malheureusement, cette éducation ne pénètre pas toutes les strates de la société avec la même efficacité. Et surtout ne s’attarde pas au réalisme de la mise en application de tels dogmes.

    Les déterminants sociaux (revenu, niveau d’éducation…) bousillent, voir annihilent, tous les efforts (sommes d’argent investi par les programmes gouvernementaux) avant même qu’ils n’atteignent la tranche de population qui en aurait le plus besoin.

     

    J’enseigne et non j’entraîne.

    Dès le début de ma carrière, je me suis engagée sur cette voie.

     

    Pour ma part, œuvrant dans le secteur de l’une des composantes de la sainte-trinité, j’applique et j’enseigne ce concept d’aller en amont. C’est-à-dire de prévenir les problèmes musculosquelettiques à l’aide d’une bonne hygiène cinétique et locomotrice.

    Je m’efforce d’enseigner que ces notions demeurent applicables à tout instant de la journée, pas seulement lors d’efforts soutenus.

    Ma philosophie en regard de la réalité, parfois nécessaire, de faire de l’exercice établit également que cela ne doit pas devenir une corvée. Un effort contre nature qui appelle à la motivation pour se réaliser et maintenir une assiduité. Lorsque l’on se somme:

    — Ah! Il faut que je m’entraîne, que je fasse de l’exercice, que je bouge plus…
    Cela équivaut à stipuler:
    — Ah! Je devrais manger plus de légumes…

    Pas très appétissant comme approche.

     

    Le quotidien à la rescousse.

    Cultiver un art de vivre. (La série de 10 FlexyTrucs est merveilleuse pour ça!)

     

    Par contre, si l’on se sert de chaque mouvement correctement exécuté au quotidien, chaque position correctement maintenue en activant abdominaux et muscles posturaux, déjà, une certaine vigilance musculaire s’installe et se maintient.

    En connaissant et en appliquant ces notions anatomiques, plusieurs problèmes potentiels se retrouvent désamorcés. Problèmes qui pourraient évoluer en diverses causes d’absentéisme au travail (lombalgie, tendinite…). Et que dire du nombre de consultations engorgeant le système de santé que cela représente…

    Reste à compléter ce programme journalier par un programme d’entraînement que vous ferez d’abord et avant tout pour votre confort ou votre plaisir! Et non par obligation.

    Je n’ai pas le pouvoir d’agir au niveau social, seulement au niveau individuel. Si votre corps le réclame, profitez des connaissances que FlexyForme a à vous offrir.

    Posturalement vôtre!



>